[Chronique] All the pretty girls by J.T. Ellison

Nombre de tomes : /
Genre : Thriller
Edition : Mira
Date de sortie : 2007
Edition : poche
Pages :  411 pages
Ma Note : ★★★★☆
Où le trouver : Cliquer ICI

In this tame debut, the body of a young girl discovered by the side of a Nashville highway puts homicide detective Taylor Jackson and her lowdown boyfriend, FBI Agent John Baldwin, on the trail of the Southern Strangler, a playful, brutal killer who likes to carry his victims across state lines before murdering them and removing their hands. Before long, however, Taylor’s reassigned to the suspicious death of a prominent TV personality, leaving John struggling to keep ahead of the Strangler’s mounting body count. Meanwhile, Taylor is still recovering from a near-fatal neck injury earned in her last case and worrying over her own demons—not the least of which is John’s threat to marry her. The real victim is Ellison’s plot, strangled by slow pacing, egregious subplots (a serial rapist, a crooked officer, a pregnancy scare) and a clichéd cast of characters: the shady Southern belle, the veteran detective pushed over the edge, the evil genius who stays a step ahead of everyone—even the appealing Taylor strikes a numbingly familiar tough-yet-vulnerable pose. Though a climactic showdown injects some much-needed excitement, readers may have a hard time getting there.

« All the Pretty Girls » de JT Ellison est un thriller qui nous plonge au cœur de deux enquêtes assez complexes. L’intrigue est donc centrée sur deux criminels, chacun avec sa propre méthodologie et sa personnalité distincte. L’auteur parvient à tisser une toile de mystère en explorant les motivations et les secrets de ces personnages, ce qui maintient le suspense tout au long du récit, les réponses cela dit ne sont à mon sens pas suffisamment satisfaisantes.

Les personnages de ce roman sont bien développés et nuancés. L’inspecteur principal Taylor Jackson, l’héroïne principale, est une policière qui doit jongler avec ses propres démons tout en traquant les tueurs. Son partenaire, John Baldwin, profiler au FBI apporte une dynamique intéressante à l’équipe d’enquêteurs. Les interactions entre les personnages sont réalistes et apportent une touche d’authenticité à l’histoire.

Je suis extrêmement déçue des deux criminels, l’un étant un « banal » conn*r de violeur, on a même pas d’explication de pourquoi il agit comme ça (si on peu avoir une raison de violer des femmes bien sûr…). Et l’autre à une raison de faire ce qu’il fait complètement absurde. OK quand on est déranger psychologiquement au point de tuer des gens, on est pas la personne la plus logique du monde, mais alors lui il a la palme de la bêtise… Ça fait très « Ouin-ouin je suis devenu tueur parce que XXX plaignez-moi« .

La plume de JT Ellison se distingue par sa capacité à créer une atmosphère tendue et immersive. Cependant, l’auteur à peut-être vu trop gros en nous faisant suivre deux criminel, j’étais franchement perdue parfois en sautant d’un chapitre à l’autre en me demandant qui on suivait. Cela dit on ne pas pas dire les scènes d’action ne sont pas palpitantes. L’écriture est entraînante et parvient à maintenir un rythme soutenu tout en approfondissant les nuances psychologiques des personnages.

Bilan, « All the Pretty Girls » offre une belle plongée dans l’esprit des criminels et des enquêteurs, avec deux intrigues plutôt bien ficelées et une écriture accrocheuse. C’est un bon thriller, mais pas forcément mémorable.

Laisser un commentaire