[Chronique] God save les françaises de Stephen Clarke

Nombre de tomes : 6
Genre : Humoristique
Edition : NiL
Date de sortie : 2007
Edition : paperback
Pages :  480 pages
Ma Note : ★★★★
Où le trouver : Cliquez sur l’image ci-dessus

Paul West, notre Englishman préféré, a décidé de rester en France pour parfaire son éducation érotico-sentimentale.

Débarqué en France pour ouvrir une chaîne de salons de thé, Paul West (l’alter ego de l’auteur) a découvert les joies de notre pays dans God save la France. Après avoir subi quelques déboires professionnels, il a trouvé la Française de ses rêves mais il doit payer de sa personne auprès de ses beaux-parents. Et même s’il jure ses grands dieux que l’empoisonnement de sa belle-mère n’était pas prémédité, sa fiancée, depuis, ne le regarde plus tout à fait du même oeil…
À la fois sarcastique et tendre, cynique et optimiste, Stephen Clarke fait vivre à son héros les pires turpitudes et semble se délecter de le voir aux prises avec ces insurmontables obstacles que sont pour un Anglais la bureaucrat

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C’était sympa de retrouver Paul West ^^ C’était vraiment cool d’avoir une lecture pas prise de tête en mode comédie romantique version garçon. Paul à vraiment un sens de l’autodérision qu’on adore ! Des petites critiques des défauts des Français qu’on adore et dans lesquels on se reconnait bien ! Un peu moins drôle que le premier T1 mais aussi beaucoup plus réaliste et moins cliché.

Il était amusant de voir le personnage principal critiquer cette fois-ci les Françaises, tout commence à sa petite amie qui est une égoïste, il ne semble pas trop le remarquer et puis au fil du livre c’est une myriade de fille qu’il va analyser l’air de rien et il faut bien dire qu’on en tient une couche nous les Françaises. Encore une fois, c’était très drôle sans être méchant ou railleur. Les beaux parents passent aussi l’examen là aussi on retrouve quelques pépites.

Jamais on ne se dit que Paul est un mauvais garçon, mais on a toujours l’impression qu’il est victime des circonstances, je ne suis pas certaines que dans la « vraie » vie on puisse s’attendrir devant une telle personne, je pense qu’on serait toutes suspicieux sur les intentions du mec en question, dans God save les Françaises ça passe pourtant extrêmement bien.

C’est un très bon livre pour passer un bon moment à se détendre.

God save les françaises

Même au plus chaud d’une bataille verbale, on oublie pas de changer le genre selon le sexe de l’adversaire. Dans le contexte, pourtant, la forme féminine de connard était totalement injustifiée : c’était moi qui étais au volant, non Florence

Un homme est quand même libre d’avoir le sac à main de son choix, non?

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