[Chronique] Le premier cavalier de l’apocalypse de John Case

Nombre de tomes : /
Genre : Thriller, Enquête
Edition : France Loisirs
Date de sortie : 1999
Edition : semi-hardback
Pages :  380 pages
Ma Note : ★★★★
Où le trouver : Cliquer ICI

La grippe espagnole – la terrifiante influenza qui fit des millions de victimes en 1918 – est-elle en train de se réveiller ? C’est ce que laisse à penser une information des services secrets américains faisant état de l’extermination par l’armée nord-coréenne d’un village en proie à une curieuse épidémie… Parallèlement, une expédition scientifique est envoyée en Arctique pour ramener les corps de cinq Norvégiens victimes de la terrible maladie, en 1920. Mais les corps ont disparu. Un journaliste qui a manqué le voyage se met à enquêter. Il découvre qu’une secte, le Temple de la lumière, n’est pas étrangère à ce qui pourrait devenir la plus terrible épidémie mondiale de tous les temps…

Encore un bon qui parle d’une grippe tueuse, tiens tiens, ça ne rappellerait quelque chose ? Je tiens à souligner que les super grippes sont souvent le résultat de gros vilains dans les bouquins, ding dong Bonjour je suis en pleins dans les théories du complot.

Le sujet des lanceurs d’alertes est également abordé, j’ai trouvé ça sympa ce rôle de journaliste qu’on essaye de museler pour ne pas « affoler » le public, encore une fois les gentils ne sont pas forcement plus gentils que les vrais méchants. Ecrit en 1999, internet en est à ses balbutiements, mais de nos jours un journaliste aurait vite fait de publier ça sur Wikileaks, je me suis fait la réflection plusieurs fois ^^

Le petit point faible du livre c’est qu’on rabâche « L’Espagnole« , « L’Espagnole » et que nos personnages tournent en rond et ne savent pas de quoi on parle alors que même nous, lecteurs, on le sait, c’est un peu gros, je crois que tout le monde sait de quoi il retourne si on parle d’une maladie que l’on nomme L’Espagnole, c’est sans doute pour faire durer le suspens, mais en fait c’est agaçant.

Il fallait qu’il y ait une romance dans le bouquin, l’auteur nous colle donc une romance bateau entre les deux seuls trentenaires du bouquin pour que ça soit à peu près intéressant puisque les autres sont presque des croulants ou des vilains méchants, bon … il n’y aurait pas eu de romance c’était quasiment pareil.

On passe cependant un excellent moment, j’ai parfois eu l’impression que le journaliste en question avait un petit air de Tintin (oui vous avez bien lu) il lui arrive toujours pleins de trucs, mais il est d’un optimisme inébranlable.

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