[Chronique] Sans un mot de Harlan Coben

Nombre de tomes : /
Genre : Enquête
Edition : Pocket
Date de sortie : 2011
Edition : poche
Pages :   472 pages
Ma Note : ★★★★
Où le trouver : Cliquer ICI

Jusqu’à quel point connaît-on vraiment son enfant ? Mike et Tia ne cessent de se poser la question : leur fils Adam, seize ans, a changé. Réfugié dans sa chambre, il ne quitte plus son ordinateur. Malgré leurs réticences, Mike et Tia se décident à installer un logiciel de contrôle. Un jour, un e-mail inquiétant. Et Adam disparaît. Sans un mot… C’est alors que tout bascule. Sur un rythme d’enfer, Harlan Coben nous entraîne dans un thriller plus électrisant que jamais. Pièges du web, délinquance virtuelle, tueur psychopathe, le maître de nos nuits blanches se joue de nos angoisses avec une délectation machiavélique.

Encore un livre d’Harlan Coben ou le suspens est vraiment à son comble, presque 400 pages où on se demande où est se putain d’ado (pardonnez mes mots lol) et qu’est-ce qui se passe dans se putain de quartier (je récidive, pardon pour mes mots).

Je crois que c’est bien la hantise de toutes les familles, que leur adolescent se renferme et bascule du côté obscure de la force, malgré tout l’option pour laquelle opte les parents sont, selon moi à l’opposé de ce qu’il faut faire, c’est étouffant et très malsain.

Je trouve que l’auteur aborde bon nombre de sujets très importants (comme son confrère Stephen King) de façon très subtil et très intelligente, Cela sert à son histoire sans pour autant parler de ses sujets pour en parler et obtenir l’étiquette « auteur inclusif » aka ce que je déteste dans les romans.

J’ai peut-être trouvé le roman un poil long, beaucoup de mystères, beaucoup de prises de têtes pour … ça. Même si c’est sympa, car tout s’explique à la fin, c’est quand même nous faire tourner en bourrique pour pas grand chose (c’est du moins mon ressentie sur le moment.)

C’est donc un bon roman, mais que je vais très vite oublié je pense et c’est aussi pour ça que cette chronique ne sera pas très longue, car je n’ai malheureusement rien de plus à en dire.

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